Alice Shin [en cours, histoire non terminée]

Identité


Nom : Shin

Prénom : Alice

Age : Seize longues années

Taille : 1m69

Poids : 53kgs

Race : Vampire



Physique :


Couleur des yeux : Bleus


Couleur des cheveux : Gris métallisés marron


Signe(s) particulier(s) : Toujours en compagnie de son ombrelle, un tatouage sur sa main droite qui illustre une croix d’église.


Description détaillée :

Petite, au corps mince et frêle, Alice fut gâtée par la nature de ses parents. Des yeux d’un bleu profond et envoûtant, un visage aussi enfantin que pure ainsi que des cheveux d’une couleur tantôt rare, tantôt fantastique. Le front caché d’une franche droite, les cheveux toujours attaché d’un ruban blanc et deux longues mèches bordent le visage de la demoiselle. Ses bras, aussi fins et fragiles que le reste de son corps. Et, aux bouts, des petites mains, comme celles d’un petit enfant qui n’a pas encore grandi. Des formes tout de même là où il faut, Alice n’est pas dépourvue de féminité, même si celle-ci l’importe peu. De longues et mince jambes terminent ce petit corps tout frêle. Certains penseront à la beauté si simple d’Alice, d’autres à son côté trop enfant. Teint pâle, mais joues bien rosées, c’est souvent que celle-ci tournent au rouge vif.



Caractère :


Aime :

« Une calme agitation », un peu contradictoire, mais ce sentiment lui plaît. L’agitation mélangé au calme plaît beaucoup à Alice. Malgré les apparences, la demoiselle aime beaucoup relever les défis, qui ne sont pas forcément de sa nature. La compagnie masculine ne dérange pas Alice, tout comme celle des êtres féminins. Les vêtements sombres et robes aux multiples voiles, jupons apprécient tout particulièrement d’être portés sur le mince corps de la jeune fille. Les armes, depuis peu, sont une infime partie de la passion ancestrale de le famille Shin. Les sucreries, le chocolat et la glace ; petits plaisirs simples mais pas vraiment bons pour la santé qui font frétiller les papilles de la demoiselle. Niveau nouvelle génération, les jeux vidéos amusent quelque peu Alice, mais pas autant que les mystères humains. Vraiment rare, mais il arrive que (comme par inattention) qu’une des moins forte cigarette arrive à sa bouche. Alice apprécie tout particulièrement la fumée de cigarette, comme son père. Les mythes et légendes comme les griffons attisent la curiosité de la jeune femme.


Aime pas :

Foncer tête baissé est trop idiot pour ne pas être analysé avant. Les gens qui ne pense qu’à eux et qui ne pensent pas à l’intensité des dégâts ne sont pas du genre à être très appréciés par Alice. Question culinaire, la nourriture fade est sans intérêts pour ses papilles. La sottise des gens qui ne s’efforcent pas à comprendre les autres, et le malheur des autres ne plaît guère à Alice. Son prénom, également lui pose problème ; trop simple, pas assez original et typiquement français. Souvent ennuyée par l’ennuie lui-même, elle s’agace bien trop vite et perd patiente. La patiente des autres l’énerve aussi tant soit peu.


Détails (qualités, défauts...) :

De nature non capricieuse, Alice savait toujours faire preuve de gratitude envers ses parents, ainsi que de se contenter de ce qu’on lui donnait. Pas toujours attentive, elle passe souvent son temps à rêver, car le temps ne presse pas, et tout vient à point à qui sait attendre. Défaut plus que présent ; l’impatiente. Gênée quand ses sentiments lui font comprendre qu’elle est plus qu’inutile, malgré ça, son tempérament la pousse toujours plus loin. Sociale, qui s’adapte bien à tous milieux, on peut penser que la treizième planète sera un jeu d’enfant pour son cas. Qui sait ? De caractère affirmé avec tout ce qu'il faut d'excentrique, Alice est douce mais tout de même râleuse. Timide mais qui s'affirme là où il faut, cette demoiselle ne manque pas de personnalité malgré les apparences.


Histoire :

Les dires sont vraies ; une histoire ne se raconte pas en dix lignes. Malgré tout, la précision de telles actions s’imposent.
Pour donner naissance à Alice, il n’a pas fallut grand-chose. Étant fille unique, les choses se simplifient dotant plus. Sa mère, fille de parents aisés, qui ne manquent pas de l’élever dans une école de demoiselles privée rencontra un jeune homme qui sera plus tard son époux, et le père d’Alice. Lui, élevé dans une famille bourgeoise, ne manqua pas de moyen pour se faire remarquer aux yeux de sa prétendante. Tous deux humains, rien d’étrange jusqu’à lors. Montant ensemble leurs projets, entre-temps, un joli bout de fille vit l’horizon de l’avenir chargé de points positifs pour elle. Alice Shin s’appellera cette petite fille. Pris par leurs projets, Éric et Stella Shin ne pouvaient s’occuper de leur fille. L’un montant sa grande boutique de cigares et cigarettes, l’autre cherchant des réponses à un mythe; les vampires. La demoiselle, dès sa naissance ne fut pas prise en charger par ses parents, mais pas une demoiselle de maison âgée de dix-sept ans qui n’avait aucunes expériences des enfants. La demoiselle de maison fut tout comme, et se débrouilla avec Alice jusqu’à l’âge de quatorze ans. L’enfant grandissait sans que les parents n’y attachent d’importance. Malgré tout, Alice les aimait et comprenait qu’ils ne profitaient de la vie que maintenant, mais que quelqu’un les en empêchait : elle. A cette période là, pour plus de « travaille sérieux », Alice devait étudier en tant qu’interne dans une école privé. A son retour chez elle, son âge avait poussé de quinze ans. Le temps de la majorité approchait, et les parents vieillissaient dans leur argent sans leur fille. Toujours la même idée en tête, Alice les aimait. Le temps et l’âge les emportèrent à un âge inconnu d’Alice. Pour dire vrai, elle ne connaissait rien de ses parents, et réciproquement.

Seule, avec une sorte « d’abandon » sur les épaules, et sans famille disponible, la jeune demoiselle se dirigea à en reculant vers un orphelinat. L’argent de la succession de ses parents fut reversé à l’orphelinat pour prendre en charge ses besoin. La vie n’aimait pas Alice, et elle non plus. La vague idée de mettre fin à ses jours ne trottait pas encore le jeune esprit féminin de celle-ci. Les jours étaient longs, l’établissement délabré et sa vie, inintéressante. Les autres occupants de l’établissement ne pouvaient s’empêcher de caqueter sur la fortune d’Alice, et sur son arrivée dans une maison de « pauvres ». Triste comme les murs, chaque soirs qui filaient à travers la main du temps, la jeune femme errait dans le cimetière à proximité de l’orphelinat, les heures de sorties, et en compagnie d’un tuteur l’égal. Comme tout orphelinat qui se respecte, certaines personnes les visitent pour y trouver leur futurs enfants sans avoir eu le moindre mal de les faire. Une vieille dame nommée Daris venait chaque jours où se passait la visite.




Arme(s), accessoire(s) :
Une croix aux embouts pointu (arme auto défensive) qui contient du poison, ainsi qu‘un poignard issue de son grand-père caché dans son bas. Son ombrelle aussi, évidemment.


Métier :
Aucun, son âge de lui permet pas encore.


Passion(s) :
Les arts des éléments (vent, feu, terre et eau) , et tous textes issus de vieux livres.


Talent(s) :
Maîtriser l‘élément du vent, ainsi que celui de la terre.